Who

C'est ici qu'ainsi démarre l'éternel départ ?
L'incessant renouvellement des fourmillements d'idées qui n'éclosent qu'aux Printemps de nos rassemblements?
Passons outre ce frêle tourniquet, je n'ai point besoin de billet.
Descendant les marches menant au quai des tristes âmes,
J'attend l'ivrée, le pire et ces drôles de drames.

et pansons les foutriquets qui d'aventurent resquilleraient.

l'éternité n'est rien, et le rien la pro-page, alors dansez dessus nos entrailles coudées, excrétez, ensemencez, et que le faîte commence.

Automne, hiver, printemps, été, automne.... Même en Corée, même en lettres absconses, nous en avons pour quelques saisons avant que n'éclose la prophétie whoienne, pour autant qu'elle ait un sens, même si Chimène avait du coeur!

Suck my kiss?

il était temps que l'aurore signe de sa main l'absolution des crépuscules nauséeux

Je joins mon acquiesssement à l'oracle qui prédit votre arrivée et mes voeux de bienvenue à ceux de mes comparses

Mon hypogastre est saisi d'étranges convulsions, prémices d'une si suave dystocie alors que l'épitoge ceint de chaleur les vertèbres appelées à soutenir une si prégnante besogne.

Misère c'est reparti.

Que de subtils prolégomènes...

Soyez bienvenu

Quelle désobligeance! Allons

Allons nous faire la Marseillaise de l'amour?

Je me permets de vous accompagner pour fredonner.

Ce n'est pas ici que les néants éclatants de nos pensées doit éclore.

Déchirez, fredonnez, félicitez mais par pitié, faites taire le silence qui gagne ma plume.